Lanatar
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Classe du personnage : Assassin
 | Sujet: Lanatar, l'histoire d'une ombre...  Mer 10 Mar - 21:03 | |
| [Hrp/] Bonjours a tous et a toutes =)
Je m'apelle Valentin en apprentissage dans la cuisine (pour se faire de bon plat devant le pc Razz) Je joue a aion depuis le début et j'ai 3 ans de wow derriere moi, sur cette guilde je présente mon assassin lvl31 forgeron d'arme 399/399, extract vita 230/299.
Sinon j'ai fait 1an de rp intense sur un fofo serieux ^^
Sinon personnelement vu que je suis en alternance il y a 2 semaines ou je serais moins présent pas le choix sauf pendant mes week end la je serai présent, sinon les 2 autres semaine je suis la pratiquement tout les jours. [/Hrp]Un homme s'approcha d'une grande porte, puis y laissa un parchemin - Parchemin a écrit:
Dans un village des plus banales où des centaines de paysans travaillaient, où des familles vivaient paisiblement depuis des dizaines d'années, où une famille qui était la fondatrice du village régnait en maitre et était respecté par tous les villageois, le chef du village était autrefois un haut gradé d'un puissant village ninja dont l'histoire n'aura pas retenue le nom à cause de sa chute aussi brève qu'innatendue.
C'est donc dans ce lieu qu'un jeune paysan, à l'époque ce n'était qu'un gamin sans autres ambitions que de nourrir sa futur famille, tous ses rêves étaient placés en cette chose.
Son rêve était sur la bonne voie d'être exécuté, cependant un matin cette voie changea, elle changea si rapidement et radicalement que l'on pourrait plus parler de métamorphose...
Mes yeux s'ouvrent lentement, enfin je ne pourrais pas dire vraiment à quel vitesse car mes paupières suivaient le rythme du soleil qui se levait sur notre village pour nous demander d'aller travailler. Mon corp, mes jambes, mes pieds s'actionnèrent alors tout seul, me levant de ma couchette de paille, je m'habillas lentement, comme pour retarder le moment où j'irais dans les champs labourer la terre.
Ce n'est pas l'envie qui me manque, mais juste que tout le monde à l'air de vouloir retarder sa sentence, pour n'importe quelle chose que ce soit, pour ne pas paraître anormal je suis donc la coutume humaine.
Je sort donc de ma maison, ce matin je n'ai pas dit bonjour à mes parents ni à mon petit frère, je me retourne pour faire face à la grange qui nous sert de demeure, à la vue de ce bâtiment mon courage redescendi tel un lapin face un chasseur, je n'ai pas du tout envie de leur dire bonjour. Demain je le ferais, après tous les jours sont tous les mêmes pour nous, donc un jour en moins ou non ça ne leur changera pas grand-chose!
Après une bonnes vingtaines de minutes de marche ma vision se troubla, puis ma tête vint heurter le sol, je me relève tant bien que mal et deux personnes me firent faces. Il me fallais bien une bonne minute pour les reconnaître c'étaient deux jeunes d'une vingtaine d'années qui venaient souvent nous chercher des ennuis. Mais cette fois-ci ils étaient équipés de lame grande et tranchante tel que je n'en avais jamais vu.
Je regarde autour de moi paniqué, pas une personne n'est la pour m'aider, il faut dire que ce matin je me suis levée vraiment tôt, un des hommes m'adresse alors la parole.
Hey toi, tu sais que sa ne sert à rien de se lever à l'aube...
Je crois que pour la peine tu a gagné le droit de te faire détruire par ...nous!
Il ria tellement fort qu'il aurait pu, à lui seul réveiller le village tout entier, j'aperçus ses dents noires un profond dégout me pris alors. Une pierre d'une assez grosse taille était juste la devant mes pieds, je m'en saisis alors ne sachant pas visé je l'envoya vers l'homme qui s'étouffait de rire. Je ne sais pas comment j'ai fait mais, la pierre percuta son front de plein, il s'effondra alors plonger dans un coma.
L'autre homme se précipita alors vers son ami, criant de tous ses poumons.
GarnaM! GARNAM
Reveille toi bon sang, foutu môme je vais te venger t'inquiète pas!
Il se tourna alors vers moi et vint à ma rencontre, il titubait, je voulais m'enfuir en courant mais, mes pied était paralysés. Il me pris par le col et prononça des mots inconpréhensibles, il sentait la vinasse à plein nez, je baissais les yeux attendant ma sentence, je vis alors un poignard dont je me saisis immédiatement. Je pris l'arme à pleine main et infligea un coup à l'ivrogne, je lui ai juste entaillé un peu la joue mais, il me lâcha, il hurla comme un porc qu'on allait égorger.
Tu m'a tranche la tête ! Ma pauvre tête!
Je vais t'égorger jusqu'à ce que ton sang recouvre tout le champ!
Je l'écoutait sans rien dire, j'étais terrorisé, il courait vers moi, je fis de même mais, en plein milieu de ma course je percuta un caillou je me ramassa sur l'homme, je regardis ma lame, je l'avais plantée sang faire exprès dans la poitrine du type, qui s'écroula net.
L'autre homme anciennement dans un coma se reveilla l'air paumé puis il vit son ami par terre, mort. Il me chargea, mais un homme s'interposa entre lui et moi, il était arrivé telle une ombre, il fit d'étranges gestes puis des flammes s'échappèrent de son épée brulant vif le deuxième perturbateur.
L'homme qui venait de me sauver se retourna vers moi je le reconnu alors c'était le chef de notre village.
Il mis sa main sur mon épaule et dit d'un ton de supériorité qui instaure le plus grand respect.
Désolé de t'avoir gâché le plaisir de tuer l'autre fourbe mais je n'avais point vu que tu avais réussi à neutraliser ton premier adversaire...
Tu est valeureux, en ces temps-ci cette marque est d'une importance capital, aussi cette situation tombe bien, car j'ai un garçon qui doit avoir à peu prêt ton âge et il faudrait un compagnon d'arme pour son initiation aux arts de la guerre pour devenir un daeva.
Autrement dit voudrait tu te joindres à lui pour lui déverser un peu de ton jeune savoir et par la même occasion augmenter ta force.
Il avait prononcé ce long discour d'une traite et derrière sa barbe, ce qui fait que je n'avais compris que la moitié, heureusement j'avais retenu l'essentiel.
Le doute vint s'installer que faire...
Vivre paisiblement une vie de paysan en ayant une famille que l'ont retrouve tous les soirs autour d'un feu de cheminée avec un bon diné ainsi que des enfants qui me souriraient quand je rentrerais le soir, me racontant tout ce qu'ils ont fait dans la journée. Puis les voir grandir jusqu'à ce qu'à leurs tours aient des enfants, même si cette vie deviendra lassante très rapidement.
Ou alors une vie de guerrier, enfin de guerrier plutôt où l'ont verrait chaque jour de nouveau endroit ainsi que de nouvelles personnes, des conquêtes amoureuse de quelques jours ou d'une nuit. La gloire à tout jamais dans les récits héroïque, mais aussi le risque de périr avec bravoure ou non.
Je n'ai pas beaucoup réfléchi à la chose en vrai, je me suis juste dit, « tant qu'à faire je vois comment c'est et puis on avisera après ».
C'est d'accord !
Mais j'espère au moins être nourrit et un peu payer pour faire au moins vivre ma famille.
Le chef écarquilla les yeux puis il s'esclaffa de rire, sur l'instant je ne compris pourquois mais, à y repenser, un môme demandé cela à un dirigeant n'était pas très délicat, de plus que je ne savais pas du tout me battre et que les hommes que j'ai réussis à mettre en déroute était un pur coup de chance!
Très bien en tout cas toi tu sais ce que tu veux!
C'est bien. Et au fait comment t'appelle tu?
Un chef qui demande à une personne dont il ne connait même pas le nom et l'invite dans sa demeure s'entraîner avec son fils n'était pas très futé de la part du brave homme, car si j'avais été un assassin il aurait été facils d'accomplir ma sombre mission, heureusement pour lui que j'étais un simple paysan qui a peur de manipuler une simple bêche!
Euh je m'appelle Lanatar chef!
Ravis d'être sous vos ordres!
L'homme s'esclaffa encore de rire puis il me dit que je n'étais pas sous ses ordres mais, plutôt que ce soit à son fils d'être sous les miens.
Il me fit signe de le suivre.
Aller viens je vais te présenter ton nouveau coéquipier!
Je suivi donc le chef dont je vins de me rendre compte que je ne connaissais même pas le nom, nous dûmes traverser tous les champ du village vu que je nous nous trouvions à l'opposer de son logement.
Arrivé au lieu dit je m'arreta submergé par un sentiment que je ne peut expliquer, j'étais entremêlé d'angoisse et d'intimidation, enfin entré dans ce bâtiment somptueux quoi qu'un peut précaire, mais cent fois mieux que ma maison aux aspects d'entrepot.
L'homme lui m'attendait au palier de la grande porte d'entrée sachant qu'il fallait me laisser le temps de réaliser...
J'avais juste assomé un homme et tué un autre par homicide involontaire et me voilà maintenant aux portes de la gloire, après quelques minutes qui passèrent pour des secondes pour moi j'emboitais les pas du chef, nous passions dans le couloir d'entré puis il me montra de sa main un escalier qui descendait à un sous-sol.
Bon je vais pouvoir te laisser maintenant, en bas tu trouvera mon fils, tu te présentera devant lui comme son instructeur et son nouveau compagnon d'arme peut être qu'avec ta foi tu deviendra daeva peut etre par la suite, et ne soit surtout pas intimidé il est très compréhensif et docile, j'espère que tu arrivera à lui forger un esprit de guerrier.
Vous remonterez pour le repas quand vous en aurez fini avec votre entrainement matinal, en attendant je dois m'occuper des maigres affaires du village.
Il me tournais déjà le dos quand il commença sa dernière phrase pour disparaître dans le couloir, je ne le suivi plus du regard car il s'était maintenant reporté vers cet escalier qui descendait vers les abîmes.
Un doute m'étreint subitement, devais-je y aller ou non ? Remarque maintenant que je me trouvais ici je n'avais plus tellement le choix, je déscendis donc ces marches que je comptais une après les autres.
Une, deux, trois, quatre...
A vrai dire c'était vraiment un escalier qui n'était pas très imposant ni très long mais, dans mon esprit une marche équivalait à dix ce qui vous pouvez l'imaginer reviens à descendre aux entrailles de la Terre, j'en étais qu'a la moitié mais, mes jambes étaient déjà engourdies.
Cinquante-deux, cinquante-trois, cinquante-quatre...
Enfin arrivé à destination mes yeux s'ouvrir immensément grand, une salle d'arme aussi grande que deux champs de blé, des milieu d'arme toutes plus extraodinaire les une que les autres était accroché au mur.
Un peut à l'écart à côté d'un mur un enfant du même âge que moi jeta une épée batarde au sol et semblait furieux, il tappait sur le mur avec ses mains et hurlait des choses inaudibles à la distance où j'était, lorsqu'il vu que quelqu'un était là il se reprit et s'inclina au loin comme la coutume l'exigeait je fis de même très rapidement et je me dis qu'il ne fallait surtout pas bafouiller ou quelque chose dans le même genre.
Euh bonjour je suis Lanatar , ton euh... nouveau.. maître si l'on peut dire, même si je pense que coéquipier serait plus approprié.
Le jeune homme écarquilla les yeux puis repris son air renfrogné et lança une arme qu'il avait pris sur le mur, l'arme était à mis chemin entre nous.
Il me lança alors d'un ton sec.
Père crois que je ne sais pas me battre et m'envoie des personnes encore plus nul que moi.
Enfin je ne pensais pas qu'il allait m'envoyer un simple pecnot pour superviser mon entrainement...
Bon allé montre moi ce que tu sais faire avec une arme!
Je couru vers l'épée, puis m'en saisit, c'est alors que les souvenirs de mon « combat » avec les deux bandit me revint en tête je lacha net l'arme qui retomba avec fracas sur le sol, le jeune homme s'esclaffa de rire.
Bon à présent je crois que le maître, ce sera moi, on arrivera peut-être à quelque chose qui se nomme équipe à la fin de tout ça...
Je m'appelle Nami, enchanté Lan, je t'appelle Lan parce que Lanatar c'est long et c'est moche!
La vanne ne m'enchantait guère, Lan... quel raccourci horrible, vu qu'il m'a déjà donné un surnom c'était à moi de lui en donner un je suppose, même si cela ne lui ferait surement pas plaisir de le recevoir d'une personne du peuple.
Ok ça marche Nam, bon on commence l'entraînement maintenant que je te donne ta plus grande défaite!
Prépare toi bien parce que j'arrive!
Nami pris un air étrange, un peu interrogateur, il ferma alors, les yeux, moi je me préparais à courir vers lui j'avais déjà ramassé le katana qui traînait au sol.
Je me mit sur mes appuits mais d'un coup il disparu de ma vue et réapparu en un instant devant moi me donnant un coup de poing d'une force incroyable et saisit mon arme avec son autre main, je valsait un peu plus loin sur le terrain.
C'est à ce moment précis que je vis la différence de niveau entre nous deux, il s'approcha de moi et me tendit la main pour me relever, je la saisis et revint sur mes pieds il se retourna alors et marcha vers sa position de départ.
Ne provoque jamais un adversaire s'il est largement supérieur à toi!
Bon apparement il faut déjà que je t'aide à améliorer ta force et ta vitesse...
Les heures passèrent rapidement, le cour finit tard dans la nuit, nous n'étions pas revenu pour manger, son père devait penser que j'étais en train d'entrainer durement son fils, ce qui était plutôt le contraire.
Bon rentre chez toi, demain on va voir pour la furtivité, on ne peut plus continuer tu est trop fatigué et tu a le ventre vide, retourne chez toi, revient au même endroit demain à l'aube, et pas de retard les heures sont précieuses dans un entrainement comme tu peux le voir!
O..oui, à demain prof, je vous promet d'être plus performent demain!
Je partis alors du bâtiments qui paraissait si beau de l'extérieur mais, à l'intérieur si dur, si exigeant.
Sur la route de chez moi je repensais à tout mon entrainement, j'avais appris à tutoyer Nam enfin c'est plutôt lui qui me la demandé, il m'a dit que je pourrai de nouveau le tutoyer quand je serais à son niveau.
Je rentre dans ma maison et je contemple le foin partout, mes parents on dut se coucher avec mon petit frère, à mon avis ils n'ont pas dû s'en faire de mon absence, chez nous la vie ne vaut presque rien, je monte dans ma petite chambre j'ouvre ma porte fait quelques pas et m'écroule sur le foin en ayant hâte à demain.
Pour une fois je contredis les règles que je me suis fixé, je ne ferais plus rien qui est de similitude avec le commun des mortel, je ferais ce que mon esprit me dicte, comme les daeva...
Quelques semaines après mon entrainement, je me découvris une force intérieur, j'arrivais presque à égalisé Nam en vitesse et en force, quoi qu'en force il était le meilleur, mais j'arrivais de temps en temps à gagner avec quelques parades, trouvé en réfléchissant en un éclair, c'était marrant d'improviser sur un champ de bataille, pendant les semaines qui suivirent il me fit même le compliment.
Toi tu possèdes l'agilité et l'ingéniosité et moi la rapidité et la puissance, une équipe presque parfaite!
Trois années passèrent et nous commencions à devenir des guerriers accomplis, le père de Nam nous confia quelques missions sans envergures, comme aller chasser les loups dans les bois aux alentour ou encore aller piller la réserves de céréales des villages voisins ou l'assassina d'un hors-la-loi rechercher pour faire rentrer de l'argent dans les maigres caisses du village.
Mine de rien notre village commençais à s'agrandir de nouveau arrivant s'installèrent, le chef nous confia que son projet était de créer un nouveau pays ninja pour faire face aux lépharistes. Un village basé sur un armement avancé, où la maitrise des armes était le maitre mot.
L'anniversaire de Nam avançais à grand pas et une cérémonie pour ce jour ce préparait, entre deux entrainement il me confia ses peurs, ses craintes et ses doutes.
Lan, il faut que je te parle de quelque chose...
Ouai quoi?
T'a l'air angoissé depuis ces derniers temps c'est pourtant bientôt le jour de ta naissance, qu'est ce qu'il t'arrive ?
Il pris d'un coup un air surpris et enchaîna sur la conversation, je me doutais que sa avait un rapport avec son anniversaire, il allait fêter ses dix-huit ans il allait devenir un Daeva, je le regardais du haut de mes dix-neuf ans.
Justement ! C'est à cause de ça mon père n'a jamais fait une quelconque cérémonie pour nos anniversaire,Mais cette fois ci c'est pour mon passage à devenir un daeva et recevoir la puissance de l'ether, de plus le sage de notre village à donner un paquet à mon père, lui qui ne sort jamais de sa maison que pour médité.
Avec l'expansion du village il doit forcément avoir un autre truc...
Mais non t'en fait pas tu dois surement t'inquiéter pour rien!
J'espère...
Je voyais bien qu'il n'était pas dans son état normal, il fallait attendre ce jour redouté pour enfin être un peu tranquille, enfin moi aussi je l'espérais.
Quand le grand jour arriva, tout le monde était heureux car, à vrai dire il n'y avait pas beaucoup d'occupation à par le travail.
Lorsque la fête commençais à se terminer le chef offrit un cadeau à Nam qui l'ouvrit avec cérémonie, une épée à la lame bleuté apparue le visage de son nouveau porteur s'illumina et la fête repris de plus belle.
Le chef vint me voir m'isolant un peu toutes les personnes, à vrai dire au début j'ai un peu contesté mais au vu de son visage si sérieux je n'ai pas cherché à protester d'avantage, il m'amena donc à un coin sombre et commença à raconter tout ce que je n'aurais jamais voulu entendre.
Ecoute moi bien Lanatar, il y a trois ans je t'est fait venir dans ma demeure et j'ai mis mon fils sous tes ordres, mais il y a une raison à cela, tu dois impérativement rester à ses côtés désormais jour et nuit, sans interruption même si cela t'en coûte la vie des centaines d'être seront en danger sinon!
Je vais maintenant t'expliquer la cause de tout cela, vu que tu a l'air un peu perturber, l'épée que je viens d'offrir à mon fils fait parti des lames jumelles qui appartenait au fondateur de ce village, c'était un grand ami à moi, mais l'une de ces lames est maudite et seul de grands daeva comme les 12 seigneurs empyréens, peuvent la canaliser, mon fils doit être pouvoir la manier pour notre gloire, je ne lui est pas donné l'autre épée car, sinon il ne pourrait maitriser la maléfique, si tu veut la première est mauvaise mais, elle donne un pouvoir sans précédent au porteur, la deuxième affaibli l'âme de son porteur sans toutefois la controler mais, elle lui procure une puissance physique encore plus grand.
Donc s'il commence à attaquer sans raison, il faut que tu le cannalise, est-ce que tu m'a bien compris ?
O..oui je ferais tout ce qui en mon possible si cela devait se passer!
Le chef reparti alors vers la fête, il avait reçus la réponse qu'il espérait, mais moi je ne crois pas que j'arriverais à tuer mon meilleur ami de mes propres mains, pourtant s'il dit vrai je n'aurais pas le choix sinon des vies innocentes mourrons.
Je dédie alors ma vie à protéger mon compagnon de lui-même,de cette lame maudite...
La soirée se termina donc tout le monde rentra heureux et repus, sauf moi qui sais que maintenant je dois tuer mon compagnon à n'importe quel prix s'il pète un câble.
Depuis la fête le chef nous donne enfin de vrai missions, assasiner des groupes de personnes détruire des villages qui peuvent nuire au notre, tuer des chefs de petit village et s'emparer de leur richesses.
Nam à d'ailleurs une nouvelle petite soeur, son père m'a confié qu'il lui donnerait la deuxième lame à ses onze ans, dans deux ans donc, en attendant que Nam sache maitriser l'arme.
Le sage lui à certifier qu'il y a sept ans il a senti une force s'élever et être capable de les maitriser à la juste valeur. Sept ans que je suis rentré au service du chef, comme si le destin avait prévu que je finisse par le tuer au moment où il fut apte à les contrôler, dans ma vie je n'ai jamais réellement eu de chance...
Notre légende est en train de se construire en attendant, des récits ont commencés à circuler parlant d'un humain et un daeva qui auraient une force extraordinaire et capable de se fondre avec l'obscurité.
Lorsque nous l'entendîmes elle nous fit bien rire, ce fut juste avant une missions dans laquelle nous devions éteindre les lumieres une ville pour tuer tout ses dirigeant, notre popularité n'allait pas s'améliorer avec cet évènement!
Notre légende s'agrandi incroyablement en l'espace de deux ans, c'est aussi aujourd'hui l'anniversaire de la jeune Moé fille du chef du village ainsi que la soeur de mon meilleur ami qui est presque un frère pour moi...
Les gens s'affèrent de partout pour préparer la fête, en regardant ces gens ça me fait penser sept ans auparavant, bizarrement je sens que cette fête ne va pas se terminer aussi bien que la précédente, un aura particulier est omniprésent, je scrute l'horizon, les gens, les bâtiments qui ont bien changés depuis ces dernières années, de vrais maisons ont remplacés les chaumières la population à tripler notre objectif est bien atteint, un tiers des habitants sont des assassins, on a enfin put donner un nom à ce village... Ombrae.
Pourtant cette gloire ne peut durer, je ne sais pas comment l'expliquer mais c'est cette aura dans l'air, cette présence, je ne sais pas d'où elle vien mais, elle m'oppresse.
Soudain je sentis une main se poser sur mon épaule, je me retourne et Maki se tenait devant moi, pour la première fois je le vois comme il est robuste grand et fort du haut de ses vingt ans, je n'ai jamais eu le temps de le regarder de lui parler vraiment avec toutes ces missions, toute cette peur que Nam devienne fou.
Ce n'est pas digne d'un grand-frère de ne pas faire attention à sa famille mais sa va changer à partir d'aujourd'hui, Nam semble calme et je n'ai plus besoin de faire attention à son comportement, je vais enfin pouvoir vivre.
Dit Lan faut pas que tu t'endorme tout le monde bosse et oubli pas d'aller te maquiller je te rappelle que tu passes en fin de soirée avec Nam, dans le spectacle des assassins contre les lépharistes...
Je n'ai jamais aimer ce surnom... Lan, mais c'est Nam qui me la donné donc je l'accepte bien que mon propre petit frère l'appelle par son prénom entier.
Le spectacle je l'avais oublié celui là aussi, c'est quand même fou à vingt-six ans être obligé de faire ça, enfin c'est juste parce que Nam c'est porter volontaire que j'ai fait de même mais vraiment à contre coeur.
Ouai ouai ne t'inquiète pas j'ai pas oublié, va aider les autres en attendant moi il faut que j'aille faire un truc plus important.
J'attendit qu'il s'éloigne pour courir vers un des champs, le premier que j'attein fut un champ de blé, je m'y jeta puis m'allongea, regardant le ciel attendant que la fête arrive j'ai nettement eu le droit de profiter d'un peut de repos avec toutes ces histoires. Sans que je m'en rend compte je m'endormis, introuvable parmi les épis de blé.
Un peut plus tard, voir même BEAUCOUP plus tard je me réveilla, à cause d'un épi qui s'était logé dans mon pantalon ce qui m'indisposait pour continuer ma longue sieste, j'ouvre les yeux puis d'un coup je vois le ciel noir avec ces étoiles, je vais pour me replonger dans ma sieste mais je me rappelle subitement que la soirée à du déjà commencer, voir bientôt finit, et que le spectacle allait bientôt commencer.
Je me dépèche alors de défroisser mes vêtements comme je peux et commence alors à courir comme un dérater vers la tente où ils sont censée faire les maquillages, j'entre et la je vois une jeune femme et mon petit frère, celui la même qui se dépèche de venir à ma rencontre.
Dépèche toi ! Le spectacle va commencer dans un moment!
Le chef est allé chercher sa fille dans leurs maison pour qu'elle y assiste, assit toi là et laisse nous faire !
Je ne discuta pas et obéis complètement éssoufflé, ils se dépêchent alors de me maquiller, aussi vite qu'ils le peuvent.
Cinq minute à peine leur ont suffit pour finir le maquillage, je crois que ça doit être un nouveau record, je me lève de la chaise prend un poignard au cas ou l'on se fasse attaquer par surprise et sort de la tente, tandis que mon frère me lance quelques encouragement.
Je vois que les autres représentant attendent d'entrée sur scène tandis que Nam lui va dans sa maison, je vais voir un des représentant pour lui demander pourquoi rentre t-il.
Hey, dit pourquoi Nam rentre chez lui, on doit passer bientôt normalement!
Il va voir son père qui est allé chercher sa fille, il a dit qu'il reviendrait tout de suite avec ces deux la.
A ce moment la mon coeur fait un bond, discrètement je vais dans la maison m'attendant au pire.
Je pousse la porte, la du sang s'offre à mon regard, beaucoup de sang, à l'embrasure d'une autre pièce Nam tien son épée d'une main, la pointe juste devant le visage de la jeune Moé en pleure, cette image sera encré profondément dans mon crane je le sais déjà, le temps est arrivé, il s'est laissé piégé par son arme, il y avait une chance sur deux que ce soit la sienne qui soit maudit, mais dans la situation actuel il ne fait aucun doute que c'est bien le sien qui est maudit ! Je prend alors une épée exposé à l'entrée puis l'enfonce dans le corp de mon meilleur ami je le vois s'écrouler devant mes yeux, mais il y a plus important que de s'apitoyer sur son sort je dois emmener la petite loin de tous sa elle doit être déjà assez choquée par tout ce qui vient de se passer, j'espérais qu'elle me reconnaitrait mais avec le maquillage sa risquait d'être dur.
Ton frère a tué tes parents, la lame qu'il avait entre les mains avec laquelle il s'apprêtait à te tuer est maudite, une des deux lames à l'ami de ton père, cet ami était le fondateur de notre village, cette même lame est possédé par d'obscurs forces dont on pense qu'un démon aurait transvasé son âme dedans, il peut modifier l'esprit du porteur pour le rendre fou, sanguinaire, violent et sans moral.
On ne savait à l'époque pas encore quel épée était maudite mais, maintenant au vu de ce qu'il a fait et de ta térreur j'en ai déduit l'évidence.
Bon aller viens il faut que j'aille t'isoler pour que tu sois en lieu sur!
Je la pris dans mes bras, mais je n'eu le temps de réaliser qu'elle avait déjà volé le poignard que j'avais dissimulé, j'eu juste le temps de mettre ma main entre le poignard et mon coeur, mais il fut touché, enfin suffisamment pour que je vois tout blanc et que je tombe dans un trou psychédélique sans fin.... c'est dire!
Lorsque je me réveilla j'étais au dispensaire , toutes les personnes autour de moi avait un air grave, ne sachant apparement pas ce qui s'était passé.
Apparament je serais mort, mais j'aurais miraculeusement réssucité comme un daeva.
Une heure plus tard le sage entra dans ma chambre il ne semblait pas très surpris par ce qui venait d'arriver, je dus lui expliquer tout depuis le début.
Sa dura une bonne heure pour raconter mon histoire tout en répondant aux questions du vieil homme je me rendormis après pour récupérer des forces.
Il me dit par la suite que j'avais volée les pouvoir de Nam en le tuant
Une journée passa durant lesquelles je passais à dormir, je sortis du dispensaire sans me faire remarquer, un peut avant j'ai laissé un mot qui expliqua toute la situation.
Je me dirige à présent vers les portes du village je regarde une dernière fois, sur la place un autel a été érigé avec l'image des trois membres de la plus grande famille ici, trois mort...
Au dessus des photos deux armés d'un halo bleuté résident.
Cette fois sa y est j'ai franchi les portes, je ne reviendrais probablement plus ici, je laisse ma famille, mon enfance, une partie de ma vie.
Aujourd'hui je vous laisse ces mémoires pour que vous m'acceptiez dans votre confrérie.
Amicalement Lanatar le guerrier des ombres, assassin sur mesure | |
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