Lunium Soulfire, Le petit prodige

*Après une journée harassante passé à combattre des lepharistes, Lunium s’en retourne à ses quartiers en Verteron. Il remarque sur son bureau une pile de papier énorme et ce dis « Quel calvaire » après les avoir tous remplis Lunium fut soudainement pris d’une idée : « Je passe mon temps à écrire sur des parchemins qui ne m’apporte guerre a moi. Si pour une fois j’écrivais pour moi-même, les gens ce rendraient mieux compte de mon rôle. » Lunium pris une plume et ce mis a rédigé ses mémoires*

- Mon nom est Lunium Soulfire, je suis un sorcier depuis bientôt 1751 ans.
A mes débuts j’habitais une paisible maison avec mes parents, ma mère était une belle et puissance prêtresse, quant a mon père lui ce fut un gladiateur, quelle ne fut pas la déception de mon père lorsque mes pouvoirs se sont révélés, lui qui s’attendais a ce que sont fils soit un grand guerrier.
Mon père n’a jamais été vraiment fier de moi. Puis vint le jour ou je du recevoir mes pouvoir de deavas, je venais d’avoir seize ans. Alors que je m’empressé de rentrer chez moi pour montrez a mon père mes nouvelles ailes.
Arrivé au sentier de notre maison j’aperçu de la fumer intense et noire jaillir de notre maison, et a travers cette fumée je vis deux grand yeux rouges s’envolé, je me suis ensuite évanoui.
En me réveillant, je ne savais plus quelle heure était il … Quel jours étions nous. Tout ce qui importé, c’était les carcasses brulés sur le sol de mes parents déchiquetés et brûlés.

*Le reste de la page est vierge.*

Les cadavres fumant de mes parents ont fait grandir en moi une rage incontrôlable. Toutes les nuits je me revoyais la scène, aujourd’hui encore, lorsque je ferme les yeux il m’arrive de les revoir enflammés sur le sol. Cette fureur qui grondait en mon cœur était la seul chose qui me permettais de rester debout. Le chagrin, la tendresse, l’envie d’aimer … Tout avais disparu … Je n’étais plus animé que par ma soif de vengeance.

J’ai longtemps traqué ce monstre, il laissait toujours les mêmes empreintes derrière lui : Des cadavres fumant, des maisons détruites, a chaque fois que je le retrouvais je n’avais qu’a peine le temps de revoir ses immenses yeux rouges me provoquer, j’arrivais toujours quelque minutes en retard. Il avait toujours une longueur d’avance sur moi.

Cinq ans après le massacre de mes parents, je n’avais malheureusement toujours pas trouvé de moyen de piégé ce monstre qui hantait mes pires cauchemars, au début j’attendais qu’il apparaisse pour me précipité a sa recherche … Puis au fur et a mesure des années, j’étais capable de deviné ses apparitions, Quand ? Où ? Comment ? Et pour qui ? Durant les 5 ans qui suivirent c’est mon maître qui m’apprit à contrôler mes émotions, il m’a tout appris : La sagesse, la patience, la dextérité, l’endurance, étrangement … Mon maître na jamais voulu que j’exerce mes talents de sorcier, le maître disait que bien assez tôt. A mes heures j’étudiais les Balaurs moi-même.

Tout ces livres a la bibliothèque donnais la même description des Balaurs, j’avais besoin d’en apprendre plus et par moi-même, mon maître m’a alors confié un livre d’un rouge intense selon lui « le même qui m’anime ».

J’ai feuilleté par milliers les pages de ce grimoire, plus j’en apprenais sur les Balaurs plus je me rendais compte qu’ils ressemblaient en tout point a ce que je craignais le plus. Chaque fois que je lisais une page la première disparaisait et une autre prenait la place de la dernière. J’ignore pourquoi je n’ai jamais eu l’idée de me rendre a la dernière page sans feuilletés les autres durant si longtemps, seulement un jour j’ai regardé cette dernière page, a cette page ce trouvais toutes les informations sur la créature que je recherche depuis si longtemps j’ai lus et relus cette page puis en bas de la page apparu une phrase.

« Si tu es enfin prêt Lunium prononce ‘’Je suis prêt ‘’ et vérité apparaitra. »

J’ai prononcé ces trois mots et le grimoire s’est mis à écrire lui-même des textes à dessiné des calligraphie dans un langage inconnu. J’étais totalement perdu.

Chapitre 2 : Les deux regards rouges

Je n’ai jamais informé mon maître de cela, il m’aurait probablement confisqué le livre et m’aurais surement puni sévèrement. J’ai plutôt essayé de découvrir ce que ces calligraphies signifiaient. A notre époque la sorcellerie n’était rien de plus qu’une présence d’aura, aujourd’hui c’est bien plus.

Le lendemain matin j’ai soudainement eu une drôle d’impressions. Il allait se passer quelque chose dans un coin reculé des Abysses, mon maître m’avait formellement interdit d’y aller, « Tu n’est pas prêt ». Fou de rage j’ai regagnez mes appartements, récupérer l’espadon de mon père, et je me suis envoler jusqu’au portail abyssal. Mon maître essaya de me rattrapé mais grâce a son entrainement j’étais devenu plus rapide et plus vif. Je lui ai échappé en passant le portail et j’ai tenté de retrouver l’endroit de ma vision.

Une fois sur place je me rendis compte qu’il n’y avait rien.

« Je suis encore arrivé trop tard … *fou de rage* »

J’entendais au loin de grands battements d’ailes et chaque battement d’aile ralentissais les battements de mon cœur, lorsqu’ils se sont finalement arrêté ma respiration s’est coupé un court instant, je me suis retourné et là je vis deux grands yeux rouge et ténébreux. J’ai empoigné l’épée de mon père et j’ai chargé voler jusqu'à lui en hurlant « Vengeance ! ». Un long et acharné combat épique était lancé, durant sept heures je me suis confronté à lui. Difficile de dire qui avait l’avantage. Il se mit soudain à rire sadiquement en me voyant tombé au sol, on entendit son rire retentir dans les abysses, en reprenant mon souffle je lui ai hurlé :

« Pourquoi ris-tu sale rejeton de l’enfer ! »

Je me suis rendu compte que se n’est pas moi qu’il fixait de ses grands yeux rouges. Mais les deux carcasses autour de moi. La femme a droite portait une cape a moitié brulé que les prêtresses adepte portaient autrefois. Comme celui de ma mère, et l’homme à gauche avait dans sa main l’espadon avec lequel je me battais.

Je me suis reculé pour avoir un meilleur aperçu, dos au monstre, j’ai fermé les yeux mais malgré cela des larmes coulaient le long de mon visage, des larmes de fureur en ouvrant les yeux et en me retournant j’ai à peine eu le temps de voir la griffe de la créature m’approcher et de crier « Non ! » Que le grimoire de mon maître sorti de ma robe et retenu le coup grâce à un bouclier magique, projetant ensuite le Balaur au sol, la terre ce mit a tremblait et des météores tombait du ciel, le grimoire est venu se loger dans ma main et s’est ouvert a la page des calligraphies.

J’ai ensuite compris ce qu’étaient ces écriteaux. Ce sont des incantations. Il me suffisait de prononcé les mots inscrit dans le grimoire et j’envoyais des boules enflammées à la vitesse de l’éclair. Plus j’en lançais plus je les sentais en moi et les rendais plus puissante, mais je me sentais aussi affaiblis à force, je senti mon heure venir, le maître avait raison : Je n’étais pas prêt à cela. Soudain une autre page vint remplacer la dernière, une étrange calligraphie apparaissait sur le grimoire recouvrant toute la page. Comme si … Le grimoire aurait voulu que je survive.

J’ai alors prononcé l’incantation indiqué sous la calligraphie avide de vengeance mes yeux rouges venez se loger dans les siens, soudain la pluie de météores qui tombait sur nous déferla sur le Balaur et vinrent ce loger dans le torse, lui déchiquetaient les ailes, le monstre chuta de la parcelle étroite ou nous nous sommes confronté.

Lorsque je voulu m’approché pour le voir tombé le Balaur donna sont dernier coup de griffes qui vint m’effleuré l’œil gauche. Après avoir été touché je m’effondrais sur le sol exténué.

Voilà d’où me viens cette marque au visage, pour certain c’est un symbole de victoire : montrer que j’ai vaincu le monstre, quant a moi je vois cela comme un signe de honte, j’ai baissé ma garde et je me suis avoir. Quelque heure plus tard je me réveillais au Sanctum avec pour seuls souvenir de ce combat mon grimoire et ma marque au visage.

Chapitre 3 : La révélation

Après mon réveil, à peine le temps de me remettre de ma blessure que mon maître vint me réveiller pour m’annoncé une grande nouvelle. Il m’a dit de me rendre au Lyceum. Une fois là bas le Grands prête Jucléas me révéla une stupéfiante nouvelle :

« - Arieluma Lunium, comment vous portez vous ? Votre blessure ?
- Elle me brûle, c’est atroce.
- Je ne vois plus de sang, et elle est refermée. *intrigué*
- Je n’ai jamais dis que c’était physique.
- Bien mais vous n’êtes pas venu pour que je vous parle de cela, elle doit déjà vous faire assez souffrir. Je vous ai fait venir pour vous parlez de ce que vous portez a votre main *désignant le grimoire*. Ce grimoire a été retrouvé dans les entrailles de la terre il y a bien longtemps, votre maître a particulièrement tenu a ce que nous tentions de vous l’attribuez pour savoir si vous êtes celui qui a été choisi par Aion pour ne pas laissé s’accomplir les souhaits d’Azphel. »

Fixé sur les paroles du Grand prêtre j’avoue ne pas tout avoir compris et pourtant j’espère vraiment être celui qui a été choisi. Le Grand prêtre m’expliqua que si j’étais encore vivant c’était grâce a ce livre, le livre contient en lui des pouvoirs que seules trois personnes dans ce monde on réussit.

Je n’ai pas cherché à savoir qui étaient ses personnes, au fond de moi je le savais. Mais j’ignorais toujours quel était ce don que ce grimoire possédait. J’ai donc demandé intrigué a quoi pouvais bien servir ce grimoire.

« - Lunium ce grimoire est unique, il vous a choisi comme votre maître l’avais prédit, Lunium ce grimoire vous ouvriras des portes vers des mondes inexploré, ils vous offriras des opportunités unique, et votre vie prendras enfin un sens. C’est ce que vous recherchiez non ?
- Si vous saviez ! …
- Vous devrez aussi faire des concessions Lunium. Prenez en conscience, malheureusement je ne puis vous dire lesquelles pour le moment, elles nous sont à tous cachées.
- *Réfléchit et dit d’une voix distingué* Bien. J’accepte ma destiné !

Le Grand prêtre me demanda alors d’ouvrir le grimoire et de prononcé les écriteaux qui venaient d’apparaitre, après les avoir prononcé mes mains se mirent a tremblez, je sentais mon corps refroidir et mes yeux rougir d’un rouge intense. Je vis ma propre âme s’échappé de ma bouche et venir se cloitré dans le grimoire qui se referma instantanément après cela. Etrangement même sans mot âme j’arrivais à maintenir mon corps debout et mon esprit actif. Je demandais intrigué et inquiet :

- Que... Que m’arrive-t-il ? !
- Cela fait parti d’un des sacrifices que vous devrez faire pour accomplir votre devoir, et comme vous vous en doutez sans âme un corps ne peut plus changer … Vous allez malheureusement restez dans ce corps jusqu'à se que votre travail soit accomplit.
- Et quel trav … ! »
Avant que je ne puisse finir ma phrase que j’entrai dans une transe inexplicable, des tas d’image défilaient devant mes yeux. Le Grand prêtre m’expliqua que c’était là la tache qui m’incombait. J’étais capable de voir l’avenir.

Une fois rentré j’expliquai a mon maître la raison de ma visite au Lyceum, le maître me dis qu’a force d’avoir des visions je finirais par distingué les différentes destinée qui y sont tracées, pour l’instant, lorsque je ferme les yeux et le regardais, tout se brouillais je me perdais dans mes visions.